taverne => RP !!!

Kayou, toujours face à Loulou, le menton appuyé sur ses bras croisés, ne pu sourire dans cette position qu'intérieurement... il était pratiquement parvenu à prédire le jeu de Seytahn, et il s'en félicitait quelque peu.
Elle était ainsi prête à en venir à une histoire immature, digne de l'oeuf et de la poule, pour se justifier. Des souvenirs de sa tendre jeunesse resurgirent également de sa mémoire.
Autant avouer tout de suite que Kayou n'irait pas plus loin.

Qu'un manque de compréhension soit à l'origine de leurs différends, Kayou en douterait désormais. En revanche il s'accordait avec Seytahn sur ce point, ils étaient différents. Il était vivant, elle ne l'était pas. Et c'est finalement la seule raison qui les amèneraient à se rencontrer encore, face à face, armes en main et sorts révisés.

Il quitta des yeux la mort-vivante sans voix pour se tourner vers la Vamp.
-Vous êtes déjà maîtres de votre destin, Seytahn. Vous le provoquez à chacun de vos actes.

Et reprenant sa position, il lâcha:
-Vous plus que quiconque.

Seytahn s'étira, soupira en souriant, finalement cette conversation avec un membre du camp adverse n'était pas si épuisante que ça, ou alors elle s'y était habituée, ou encore elle préférait ça aux messages de haines "sous cape" qu'elle recevait des Klones à chaque conflit :

- "Maître", on ne l'est jamais assez, Kayou, je ne considère pas la maîtrise comme un état statique mais comme un défi : je tends à, je désire, j'espère, j'essaie, j'ai envie que mes frères et moi-même soyons maîtres de nos destins, sachant que cette finalité n'est intéressante que par le mouvement qu'elle entraîne, sachant que personne n'est jamais maître de quoique ce soit, si ce n'est d'en relever le défi sinon quel ennui ! et il est bien plus passionnant de tenter d'être maître de son destin que de s'imaginer qu'on l'est déjà, et de ce triste fait, vouloir maîtriser celui des autres.

Comment expliquer cette nuance si difficile à comprendre ?
Le point A de départ ne m'intéresse pas, le point B d'arrivée encore moins : seul le mouvement et l'action entre les deux vaut son poids d'or, entre la vie et la mort il existe ce mouvement, qui permet de donner un volume, une dimension, un "corps" à ce qui n'aurait pu être qu'une triste ligne bien plate entre deux polarités opposées.

Si nous sommes Mort-vivant c'est qu'il y a une raison, et au lieu de considérer cela comme une abjection, autant s'en servir pour mieux comprendre ce qui est enfoui au fond de nous : c'est notre richesse et non notre plaie, et en cela comment pourrions nous être d'accord avec ceux qui n'y voient rien d'autre qu'une aberration à détruire ?

Chris heurta un homme massif, et reconnu Thanos.

-Ha, salut, Chris ! Il y a beaucoup de monde, mais nous sommes essentiellement de passage... On se refait une santé avant de retourner sur le front.

Pas de problème Thanos! En plus, c'est moi qui paye aller!!!! Donnez moi de votre meilleur alcool!!!

Soyinka, qui sirotait un alcool de sang au bar, aperçut Chris, et rit silencieusement en voyant sa grimace lorsqu'il se cogna à la porte.

Elle se rappela l'avoir aperçu sur le champ de bataille et sourit à ce souvenir...

Vous êtes-vous bien remis de vos blessures, noble guerrier?

Chris vit Soyinka qui lui souriait, et lui envoya un petit clin d'oeil:
-Oui je m'en suis remis! J'ai eu du mal, mais grace à une jolie soigneuse, j'ai resisté! Merci encore très chère! Puis-je vous offrir un verre?

chaos se releva et alla pres du bar.

c'est pas tout ca, il fait soif. tournée generale.

Eleldith entra dans la pièce le plus discrètement possible puis se renseigna des boissons sur l'affiche clouée au mur. Il fit alors son choix et s'adressa, accoudé au comptoir, au serveur dans un simple murmure :

Serait-il possible de goûter à la Chaosweet d'Elyra ?

Il se tourna alors puis adressa un sourire furtif à l'assemblée mais plus appuyé lorsqu'il croisa le regard de certaines Dames. Ses yeux se portèrent ensuite à nouveau sur le serveur puis il patienta le temps de la préparation.

Merci, Chris! répondit Soyinka avec un sourire suave. Mais je n'ai pas encore fini mon verre...
Elle leva sa coupe et porta une parodie de toast au guerrier, en lui lançant un clin d'oeil.
Elle aperçut soudain un visage connu, entré discrètement dans la taverne, et se dirigea vers lui en souriant de toutes ses dents.

Eleldith! Enfin, vous voilà parmi nous, quel plaisir de vous revoir! J'ai vraiment cru que vous vous étiez égaré dans nos sombres corridors... Dit-elle d'un air malicieux.
Comment allez-vous? Puis-je vous offrir quelque chose?

Quelque part plus loin, une porte vola, et un fantôme entra...

...

...

plom... plom... plom... Plom... PLOM... PLOMMMMMMM....
Puis le fantôme arriva.

-Salut tout le monde! j'ai manqué quelque chose?
Enfin... sûrement

Eleldith se retourna au doux son de sa voix, l'aperçut, puis rendit le sourire à Soyinka.

Le devoir m'a appelé, j'ai du accompagner mes accolytes pour régler un problème. Mais cela est fini alors je passe vous dire un bonjour. Il jeta un coup d'oeil alentour, repérant quelques détails singuliers dans la pièce puis se replongea dans le regard enjoleur de Dame Soyinka. Toujours aussi lugubre et oppressant ce Mausolée. J'apprécie, on s'y sent isolé et parfois même esseulé, mais l'athmosphère de ce Bar est paradoxal. Ce n'est pas non plus pour me déplaire, dit-il en lui adressant un clin-d'oeil furtif.

Le fantôme venait d'entrer, un frisson lui parcourait alors l'échine puis il se ressaisissa.

Je ne m'y ferais jamais. Cette sensation me parcourant le dos est exaltante, l'une des rares que je puisses ressentir encore, preuve d'une étincelle de vie... bref, comme vous pouvez le remarquer, mon moral est fidèle à lui même. Il eu un rire sardonique puis commanda un Alcool de sang, elfique de préférence - sans doute le plus savoureux après celui du dragon - et se prit pour lui une eau de vie pêche. Ne faîtes vous donc pas d'Hydromel ici ? s'enquissa-t-il auprès du serveur. Il tendit le verre de sang à Dame Soyinka. Ce n'est pas à vous de m'offrir un verre, bien que vous soyez l'hôte. Galanterie oblige, c'est moi qui paierait. Il marqua une pause puis la questionna : Mais comment se porte ma Dame préférée ?

Mino revint enfin de ses voyages et des combats mené ces derniers temps.
Cela fesait longtemps qu'il n'avait plus mit les pied ici.
Il s'était téléporté car il venait d'étre attaqué sauvagement pendent la nuit par un loup garou et son armure n'étant plus de ce monde, il avait subit de serieux dommage.

-Pfffiou que ca fais plaisir de revenir ici.
Shmi donne moi ce que tu as de plus fort, sans pour autant devoir me mettre dans l'eau

Atmosphère paradoxale? mais pourquoi la mort devrait-elle être vécue dans la tristesse et la morosité? Je préfère considérer que la non-vie est faite justement pour se délivrer de cette tristesse...

Elle accepta le verre qu'il lui tendait avec un gracieux sourire, et adressa un signe de la main à Shmi, qu'elle était heureuse de revoir.

Concernant votre moral... En effet, vous me paraissez folâtre et rayonnant, j'en ai presque mal aux yeux! dit-elle en riant. Mais je ne désespère pas de vous voir sourire un jour, je suis sûre que vous seriez encore plus charmant! conclut-elle avec un clin d'oeil.

A part ça, je me porte bien, j'ai été très occupée et impressionnée par la grande guerre contre le Phoenix, j'ai rencontré les légendes vivantes (enfin, plus ou moins) du Lorndor... J'ai soigné, tué...

Elyra s'approcha de Mino. Son vampire préféré avait dû se battre, il avait des blessures un peu partout. Il tenait debout et allait assez bien pour demander une boisson avant de demander des soins mais quand même.

L'elfe posa la main sur le bras de son ami.

- Mino, laisse moi m'occuper de toi.

Souriante, elle passa ses mains sur toutes les plaies du vampire. Un petit rayonnement, une douce chaleur et le mal s'en allait.
Elyra se releva.

- Ca va mieux? Il faut faire attention à toi quand tu sors.

Elle lui fit un gros bisou sur la joue.

Merci beaucoup Elyra.
En fait je m'était assoupi contre un arbre en pensant que je ne risquait plus rien vu que tout les membre du phènix étaient mort ou avait fuit.
J'avait complemtement oublier ce mal qui ronge lordnor.
Apard ça, que raconte les vamps depuis qu'on ne s'ets pas vu?

Il pris une moue dubitative, ferma les yeux et réfléchis quelques secondes, comme pour mieux se rappeler.

Et bien certains souvenirs, malgré une atmosphère aussi chaleureuse, font que le sourire ne vient plus... ou alors il sonne faux. Mais je m'efforce de guérir. C'est aussi pour cela que je viens vous voir, malgré votre état physique, vous paraissez pleine de vie. Peut-être y trouverais-je mon salut ! et il fit un sourire des plus éloquant comme pour montrer sa bonne foi. Il prit une gorgé et ne montra aucun signe de sensation, comme s'il buvait simplement de l'eau et cela lui rappela bien vite sa réalité. Il perdit alors son rictus.

Mais trève de bavardages futiles, qui avez vous rencontré lors de cette guerre ? Je n'y étais pas et ne suis au courant de rien. Vous ne vous êtes pas blessé j'espère ? s'exclama t'il précipitemment dans un sous-entendu plein d'inquiétude.

Il regarda, d'un oeil curieux et averti, Dame Elyra et de son travail plutôt efficace, elle maitrisait parfaitement l'art elfique. Qui pouvait bien être son maitre ?

Dame Elyra ? De qui détenez vous cet art bénéfique ? s'empressa t'il de lui demander.

Surprise par la question, Elyra se retourna vers Eleldith, s'inclina gracieusement et répondit en se relevant.

- Seigneur, tout ce que je sais me vient d'Elvea-la-Tisseuse-de-Rêves... ma mère.

Quand elle pronnonça le nom de cette personne admirée et ô combien chère à son coeur, le visage d'Elyra s'illumina d'une lumière très très douce. Elle leva la tête vers le plafond, mais ce n'était pas le plafond qu'elle voyait. Au-delà des limites architecturales du Mausolée, elle percevait le ciel, les astres, et adressa un sourire vers cette destination si lointaine.

Puis elle reprit ses esprits.

- Je me rends compte que nous ne nous connaissons pas en fait. Parlez moi de vous, Seigneur Eleldith.

Elle pencha la tête sur le côté, l'air attentif, et lui sourit.

Il fut troublé par la simplicité qui accompagnait la question et le nom de sa mère. Il n'était plus habitué qu'on lui porte de l'intérêt.

Erf, euh... hum... Il reprit contenance. Escusez moi... Votre mère devait être une grande magicienne, ou du moins elle maitrisait parfaitement les arts bénéfiques et son enseignement. Vous êtes douée et pourriez l'être encore plus. Vous avez certainement le talent d'une prêtresse, voir même d'une descendante de Dame Glad.
Aimeriez-vous que je vous aide à développer ce don ? J'ai moi même acquis une grande connaissance en la matière et je me ferais une joie de la partager avec quelqu'un d'autre. Il lui sourit sereinement en fermant les yeux. Mais une autre question me vient à l'esprit, votre mère a-t-elle été présente dans une cité du nom d'Elvanghar pendant un môment ? Ce nom me dit quelque chose... son regard partit au loin et mit un temps à revenir, il fixa alors Elyra puis s'escusa de nouveau.

Au fait, ne m'appelez pas seigneur, je n'ai pas la prétention d'un rang aussi élevé désormais. Mes titres se sont perdus au môment même où ma vie s'est échappée de mon corps. Mais que désireriez vous savoir de moi ?

Elyra répondit d'abord à Mino.

- Et bien à la fin de la guerre nous avons eu quartier libre et en profitons pour faire des emplettes, la fête, pour profiter quoi !! A ce propos j'ai quelque chose à acheter, merci de me le rappeler.

Elle se tourne ensuite vers Eleldith, son regard pétille de malice.

- Une grande magicienne, moi? Je ne sais pas, mais si ce dont je suis capable peut apporter soleil et sourire à ceux que j'aime alors je suis heureuse.

Elyra se sent d'excellente humeur, est-ce d'avoir évoqué Elvea? En tout cas il faut qu'elle partage sa joie. Elle saisit les mains d'Eleldith et se met à tournoyer en l'entrainant. Ils vont de plus en plus vite, bientôt le décor du bar devient flou.

- Je ne connais pas la cité dont vous me parlez, mais Elvea a tant voyagé... elle est même venue en Lorndore vous savez!
Apprendre avec vous? Avec plaisir, je suis toujours disposée à améliorer mes capacités. Du moment que je peux faire plus de bien à mon entourage que ce que je ne peux déjà en faire. J'accepte et apprécie votre proposition.

Elle ralentit et arrête de tourner. Elle reprend son souffle et pose sur lui un regard mutin, lui fait un sourire assorti.

- A votre aise, j'arrête de vous appeler Seigneur, mais il faut promettre de ne plus me vouvoyer.
Ce que je veux savoir de vous? Mais tout! Racontez moi votre histoire, j'adore les histoires...
Au fait, qui est dame Glad?

Eleldith essayait de reprendre ses appuis et de regrouper les deux silhouettes d'Elyra en une seule. Il se frotta le front et tenta d'assimiler toutes ses questions.

Et bien, ma Dame, vous avez une énergie des plus débordante. Surprenant ! Mais par où pourrais-je commencer... Il croisa les bras et regarda au sol, prenant un ton sérieux.

Je ne serais pas étonné que votre.. hum, je ne m'y ferais pas... ta mère ai participé au tissage des jardins d'Elvanghar. Elle devait être doué, très doué, au vue de v... tes capacités. Je fouillerais dans mes archives, peut-être y trouverais-je son nom. Je tâcherais par la même occassion de préparer quelques cours pour v... t'enseigner l'art bénéfique, j'avoue ne pas avoir prévu le coup, sa parole s'accompagna d'un sourire maussade. Ah ! J'oubliais, Elvanghar est la cité de Yevon, mais elle a changé depuis mon départ. Son emplacement aussi. Yevon a changé... Il eu un tremblement soudain et léger à la main droite. Il l'aggripa de l'autre main et força l'arrêt. Je vous... Soit, appelez moi comme bon vous semblera... Je vous montrerais les écrits la décrivant, si cela vous enchante.

Il avalait une autre lampée de son verre puis reprit la parole, attentif aux réactions d'Elyra, souriante et pleine d'entrain. Ma vie pourrait se résumer assez brèvement, mais cela ne vous satisferait surement pas mais je tente le coup :

Je suis né à Elvanghar, je ne sais plus depuis quand, j'ai un peu perdu la notion du temps et y ai passé une bonne partie de ma vie, voilà pourquoi j'y porte tant d'importance. Mais j'ai voyagé, beaucoup et peut-être un peu trop. Il s'assombrit à ces mots. J'étais un bretteur louable mais surtout un excellent magicien pour l'art bénéfique, un peu moins concernant l'élémentaire et la nécromancie.
Mais passons ces détails. Durant mon enfance, j'ai été amené à suivre divers exercices dans le maniement d'arme, la magie et la politique. J'étais le second fils du Roi, je ne pouvais y échapper. C'est mon frère, Caïn, qui pris la succession. Il est mort depuis. Sa main émit un léger tremblement à peine distinct. Mon rôle était plutôt sécuritaire et diplomatique mais cela ne m'a pas empêché de participer à plusieurs guerres, notamment contre les elfes noirs, bien que je n'ai jamais réellement compris pourquoi on leur en voulait tant. Il se désaltèra de nouveau.

A la fin de vie de mon frère, je lui prêta serment de protéger son fils, Jecht, quoi qu'il advienne et j'ai gardé ce souvenir dans une pierre que je n'ai hélas plus. Nous connûmes plusieurs années de prospérité et j'en profitai pour voyager à nouveau dans Lordnor. A mon retour, les gardes se plaignaient d'hallucinations et de cauchemars répétés. J'ai donc pris soin de sonder leur esprit pour en dégager vérité. Je ne vous décrirerai pas ce que j'ai pu y voir de peur de vous choquer ma Dame. Il s'assit, le regard plongé au fond de ses pensées. Il s'est avéré que lors d'une rencontre diplomatique entre plusieurs clans, j'ai fait la connaissance d'un elfe, ou plutôt d'un Ange sous l'apparence d'un elfe. C'est une bien étrange créature, d'un autre monde et animé de non sentiments, seulement là pour remplir la mission que lui ordonne les Archanges. Lui était là pour enquêter sur un magicien noir du nom de Beldam, il aperçut Seytahn prendre part au récit à l'évocation de ce nom, c'est vrai qu'elle voulait en savoir plus sur lui, lui aussi venant du monde des Anges. Les hallucinations dont était victime les gardes ; pardonnez moi ma Dame, de partir dans un récit plus technique mais il est nécessaire de comprendre au mieux LE rebondissement de ma vie, étaient en fait des messages de l'Ange adressé à ses supérieurs par la voie de la pensée, de simple rapport. Nos frèles corps servent de catalyseur à leur magie, nous l'amplifions pour qu'elle puisse franchir l'espace temps et atteindre un receptacle au sein de leur monde. Je me suis cependant lié d'amitié avec cet Ange, fait rare pour eux : il s'est humanisé et a ainsi été banni et puni par le royaume des Anges.

Il regarda Elyra d'un air inquiet. Je parle, je parle, mais je ne suis pas sur que cela vous intéresse... voulez vous que je conte la suite tout de même ?

chaos entra dans la taverne. il n'etait pas le meme, ses yeux brillaient d'un rouge profond. son corps n'etait plus le meme, il etait different mais toujours conscient de ses actes.arrivé au bar, il dit:

TI CYHK AD PAYILUIB. Z'YE PACUEH TA VUNLA BUIN YMMAN DIAN LA LRYNUKHYNT. EM JY LUSBNAHTNA XI'EM HA VYID BYC AHANJÉ IH TÉSUH.

Entrant dans la taverne
[s]Ceux qui regardent par la porte en sentant le courant d'air peuvent voir furtivement la forme d'un ange, un humanoide avec de grandes ailes blanches, aux cheveux d'une couleur indicernable au premier regard... puis, comme tout le monde, ils voient un elfe qui s'approche, il semble jeune, mais ses yeux démentent...[/s]


Voilà bien longtemps que nous ne nous étions croisés mon cher Eleldilth. Il a fallut que je passe dans la région et que je t'entende raconter notr...ton histoire. Tu sais bien que cela m'éveille et que je t'entends toujours... Les expériences que nous avons vécues laissent des traces.. des traces et des liens uniques.

Tu es vraiment obliger de raconter ta vie partout où tu passe ? Tu devrais savoir -à force- que les autres ne te croient plus... Personne ne croit en ton ange, tu devrais laisser tomber, l'affaire n'en vaut assurément pas la peine.. Je suis par ailleurs bien trop humilié pour que l'histoire ne me plaise, sans ignorer le fait que Beldam croit en ma mort, ceci constitue un net avantage -pour ne pas dire le seul- sur lui.

Veuillez pardonner mon impolitesse, bonsoir à toutes mesdemoiselles, je me rpésente, Aziraphale pour vous servir, je lutte également contre Beldam, et j'en ai également fait les frais.

N'arrivant pas à me défaire de cette expression distante, maussade et emprunte de tristesse, relayée par une aura clairement reconnaissable, je m'approche du comptoir

Euh chaos, qu'est-ce qu'il t'arrive?

Et si tu pouvais reparler le language commun et pas celui dé demon...
Parceuqe là, je crois que tu fais peur...

Il ne fut pas surpris de voir surgir Aziraphale au contraire de chaoskorne qui paraissait étrangement lugubre. Il éclipsa son comportement puis fit abstraction des reproches de son ami.

Heureux de te revoir enfin. J'ai reccueilli quelques informations dernièrement, je t'en ferait part prochainement. Attelons nous plutôt aux présentations. Je ne connais pas grand monde ici cependant, mais voilà Dame Soyinka, une Dame charmante qui cherche à me redonner le sourire, louable attention. Il indiqua ensuite Dame Elyra de son regard. Voilà une elfette des plus joaviales, sa vivacité et son ethousiasme pourrait nous réchauffer notre coeur tant elle a à offrir - et pour finir il présenta Dame Seytahn - et cette vamps est leur chef, caractère piquant mais d'une extrême gentillesse à ses heures. Il leur sourit à toutes les trois puis fini son verre et en recommanda deux autres, l'un pour Azi.