taverne => RP !!!

Le Prince s'approcha du bar, tandis que shmilblix disparaissait dans la réserve pour aller chercher sa commande. Il sourit aux questions de l'elfe.

Tu sais, nous voyagons beaucoup... Mais cette ambiance, c'est aussi une partie intégrante de nous, comme la forêt peut être une partie des elfes. Les cimetierres sont à ce titre notre "habitat naturel", et c'est pour de bonnes raisons. De toute façon, si nous aimons parfois retrouver la vie, nous balader dans les villes humaines, nous sommes rapidement rejetés. Nous sommes considérés comme des monstres puant et maléfiques. C'est malheuresement vrai pour certains, mais comme je l'ai déjà dit à notre ami ezechiel, il ne faut pas généraliser.
Et c'est à cause de ce rejet, cette haine infondée, que le culte de Lucifel existe, et que nous sommes là.

-tien encore dees nouveaux on pourrai se mettre a faire du tourisme ,par contre quand on demande le meilleur alcool qu'il y a ici et qu'on est elfe je sais pas si on n'aprécit beaucoup,enfin sa dépend je sais pas quel est l'alcool préferer de shmi mais le mien...


Correction de PN :

Tiens, encore des nouveaux ! On pourrait se mettre à faire du tourisme !
Par contre, quand on demande le meilleur alcool qu'il y a ici, je ne suis pas sûr qu'un elfe l'apprécie beaucoup... Enfin, ça dépend, je ne sais pas quel alcool shmi préfère, mais le mien...

Un effort, s'il te plait, Hijo !

Kayou reprenait à peine quelques couleurs. Suite aux propositions à répétition qu'il avait alors reçues, il avait fini par réussir à avaler un repas, et à se remettre un peu de l'épreuve.
Il était bien conscient d'avoir laissée Soyinka de côté jusqu'alors. Si ses propos le touchèrent, il ne savait guère quoi lui répondre. Il ne connaissait pas son histoire, mais ça n'y changerait rien de toute façon. Kayou ne traquait le Fléau que rarement avec plaisir. Il savait fort bien qu'il s'immiscait dans les histoires d'êtres dont il ignorait quasiment tout sauf leur relation au Fléau.

C'est là le seul détail qui ferait qu'en tout autre lieu, Kayou et Soyinka se trouverait face à face. Et Kayou n'aurait pas d'hésitation. Et il n'en attendait pas moins de ses adversaires.

Il allait tenter de l'expliquer à Soyinka, quand celle-ci se jeta sur les nouveaux arrivants. Autant pour ses explications.

Quand Elyra l'aperçut, Kayou se releva pour la saluer. Il s'amusa de la façon dont elle se présenta à lui. Il afficha même son premier véritable sourire. Elle lui rappelait les facétie d'une de ses amies. Inclinant la tête:
-Mes respects, madame, dois-je dire désormais, si je ne m'abuse?
J'ai eu le plaisir de vous rencontrer à la cité de NEMESIS. Mais je n'étais en ces lieux qu'un Némésis parmi tant d'autres. Je ne prends donc pas ombrage que vous ne vous souveniez pas bien de moi. J'aurais plaisir à discuter plus avant avec vous, mais je ne saurais vous accaparer d'avantage après toutes les invitations que vous avez déjà reçues.

Quand Thanos entra à son tour, Kayou dû à nouveau lutter contre une pulsion qui lui serrait le ventre. Décidément, cotoyer des mort-vivants ne lui serait pas facile.

Kayou se contenta de mettre un genoux à terre, et de baisser la tête pour saluer Thanos quand ce dernier porta sur lui son regard. Après quoi il se releva et attendit que se terminent les présentations et les différentes marques de bienvenue.
Il salua également Zelltemplar, qu'il était surpris de trouver en ces lieux ici. Quelle coïncidence de se trouver en ces lieux en même temps!

- Un Nemesis? Bienvenue à vous Seigneur. Cette fois je me rappellerai de vous quand je retournerai à votre palais.
Mais au fait, où est Ezechiel?

Elyra n'apperçut pas l'elfe dans la salle. Il avait dû rentrer chez lui. Quand reviendrait-il? Elle revint à Kayou et lui sourit. Elle s'assit face à lui.

- Avez vous besoin de quelque chose? Qu'est-ce qui vous a poussé à venir nous saluer? Je suis contente de votre visite, vous remontez l'image de votre clan ^^.

Zelltemplar fut surpris que ce soit le Prince noir qui s'adresse à lui:

- Cher Prince, mon ignorance et mes questions doivent vous amuser, je dois me comporter quelque peu comme un enfant qui découvrirait un nouveau monde.
Quoi qu'il en soit, vous devez comprendre que si vous êtes rejetté, c'est très souvent par peur de la différence. Beaucoup ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas, et dans un réflexe de défense, préfèrent se montrer méchant. Et cela est encore plus vrai quand quand ils sont rassemblés en foule. C'est pourquoi je pense que nos deux peuples ne pourront jamais cohabiter ensemble, mais au moins pouvons nous, en tant que représentants de clans puissants, faire un effort et tisser des relations saines.
Mais j'avoue avoir été surpris, je ne pensais pas que cela se passerais aussi bien une fois que j'aurais franchi les frontières de votre royaume, et pour le moment il n'y a eu aucun incident. Peut être un jour nos clans se rapprocheront, mais je pense qu'il y aura beaucoup de choses encore à changer dans les mentalités de chacun.

Puis il salua Kayou, décidemment beaucop de visages familiers trainaient dans le coin et celà était quelque peu rassurant. Il voyait combien Kayou semblait intégrer ici, alors que c'était bien le dernier endroit où il s'attendait à le voir... du moins en vie.

Elyra s'apperçut des regards surpris que se lançaient Kayou et Zelltemplar. Elle s'en amusa. Et comme elle aimait connaitre les gens, elle voulait en savoir plus.

- Mes seigneurs, vous semblez vous connaitre ou je me trompe? Racontez moi, quels sont vos liens?

Shmilblix revint avec une coupe de cristal et un pichet de vin de la même facture. La couleur du liquide rappelait vivement celle du sang, mais n'en avais pas la texture. Il s'agissait d'un vin très raffiné pillé dans les ruines du château [anges]. Thanos aimait se genre de petits plaisir, lointaine reminiscence de ses racines nobles. Il goûta le breuvage, et émit un soupir satisfait.

Tu ne m'apprends rien, zelltemplar... La peur de l'étrange, la haine de l'inconnu... C'est cela qui a fait de nous ce que nous sommes. Et c'est cela que nous combattons.

Il répondit au salut de Kayou par un hochement de tête. La pulsion, induite par la source, que le nemesis ressenti, prit la forme d'un petite lueur dans le regard. Flamme de haine incontrolable qui ne dura qu'une demi-seconde. Thanos était impressionné par la capacité de contrôle de Kayou. De toute façon, s'il ne se contrôlait pas, il serait déjà mort....

Où était Ezechiel? Kayou aurait aimé le savoir.
Kayou s'inquiétait des absences de Ezechiel, et sa participation à la Cérémonie l'avait simplement étonné, ayant eu vent des fréquentations du jeune Némésis. Et c'est en le suivant qu'il était parvenu jusqu'ici, après quoi il avait perdu sa trace et s'était fait prendre à l'improviste.
-Je n'ai rien d'un seigneur, gente dame, et le vouvoiement est vraiment de trop, je vous en prie.
J'espérais justement retrouver Ezechiel ici, mais il s'est montré introuvable. Après quoi j'ai été invité par un de vos amis, que j'ai eu le plaisir de croiser au détour d'un couloir. Je n'ai évidemment pas pu refuser.

Je ne suis pas ici en temps que Némésis, mais en tant qu'ami d'Ezechiel. N'allez pas croire que je suis venu présenter une 'meilleure image' de NEMESIS. Et quand bien même je serais venu ici officiellement, mon travail n'aurait en rien été de la changer. Les Némésis ne courent pas après une 'belle image', mais après le Fléau.

En se tournant vers Zelltemplar, Kayou croisa le regard d'une mort-vivante, qui le mis mal à l'aise comme quantité de choses en ces lieux. Mais il n'en poursuivit pas moins sa prose.
-Nous nous connaissons finalement très peu avec Zelltemplar. Il a du nous arriver de nous croiser sur quelques batailles, et d'échanger quelques propos dans le cadre de nos fonctions respectives. Peut-être devions-nous nous rencontrer ici pour mieux nous connaître. Qui sait?

Il était un autre lieu où il se croisait également, mais ce n'était pas un lieu où il souhaitait en parler. Il en espérait autant de la part de l'Elfe.

Kayou avait entendu la réponse de Thanos faite à Zelltemplar.
"La peur de l'étrange, la peur de l'inconnu"...
Après toutes ces années passées à pourchasser le Fléau à travers tout le Lorndor, il avait appris à connaître ses ennemis, comme nombre des ses compagnons.
La seule peur qu'il puisse éprouver encore ne serait pas celle de l'inconnu, mais de l'imprévisible. La perte d'un ami, ou son propre trépas. Mais c'était valable pour n'importe qu'elle bataille, contre des morts-vivants ou n'importe qui d'autre.
Il ne pouvait pas avoir de haine alors qu'il les sentait au fond de lui autant victime que ceux qu'il cherchait à protéger. Et cela faisait bien longtemps que Kayou ne se battait plus par haine. Ses combats s'étaient alors fortement allégés, et ne lui coûtaient plus l'énergie que pouvait consommer un sentiment aussi fort que la haine. Il ne pouvait pas se permettre de tels écarts.

Kayou regarda à nouveau la mort-vivante. Elle semblait ne pas l'avoir quitté des yeux. Il essayait de se concentrer sur la discussion, mais ce regard commençait à occuper ses pensées. Que lui préparait-elle?
Kayou conservait une main au fond de sa poche, serrant son parchemin de téléportation.

[HRP]
"La pulsion, induite par la source, que le nemesis ressenti, prit la forme d'un petite lueur dans le regard. Flamme de haine incontrolable qui ne dura qu'une demi-seconde.", PrinceNoir

Je ne vous hais point. C'est juste une réaction, un réflexe. Acquit par expérience, ou introduit par les effluves de la Source? (???)
[HRP]

Zelltemplar se dit que bien que le Prince Noir soit peu bavard, ses paroles étaient plus que suffisantes pour expliquer ce que ressentait la race undead:

- Cher Prince, je ne peux que vous comprendre, mais est-ce par la guerre que se résoudra tout cela... je n'ai malheureusement pas la réponse, mais je pense que la guerre est le propre de tout être, vivant ou non, errant sur ces terres. Mais heureusement, sur ces mêmes terres se trouvent des personnage respectables, avec qui nous pouvons beaucoup partager, et parler d'égal à égal. J'aimerais voir un jour nos clans combattre cote à cote, cela prouverait que nous avons beaucoup progressé, mais je ne crois pas que ni ton peuple, ni le mien, soient encore près.

Puis il s'adressa à Kayou, qui semblait aussi nerveux que lui:

- En effet, j'aurais aimé faire plus ample connaissance avec toi. Nous avons combattu quelques fois cote à cote, mais trop rarement à mon gout, et nos échanges restaient très officiels, chacun représentant son clan. Je passerais peut être faire un tour par chez vous si le temps m'en est donné.

Il se dit également qu'il était préférable de ne pas s'étaler d'avantage sur ce lieu secret. Il sentait que son compagnon humain était de plus en plus nerveux, bien qu'il n'en donna pas l'air, et espérait que cela n'allait pas dégénérer. La tension dans l'air était palpable, et n'augurait rien de bon. Et tout cela ne fit qu'augmenter sa propre appréhension.

- Mon cher Kayou, il doit y avoir des choses que j'ignore encore sur vos relations avec ce peuple, bien plus qu'une simple guerre. Cela semble remonter à des temps anciens, mais j'espère qu'avec le temps, vous apprendrez peut être pas à vous aimer, mais au moins à vous comprendre.

- Messeigneurs, Mesdames, je vais vous quitter, des affaires urgentes m'attendent. Si tout se passe bien, mon clan fera bientot parler de lui. Je vous souhaite à tous de concrétiser vos souhaits. J'ai été agréablement surpris par vos coutumes et moeurs, je repasserais très certainement vous rendre visite dès que je le pourrais pour en apprendre un peu plus sur votre peuple, et votre clan. Bien à vous.

Zelltemplar s'encapuchonna, sorti de l'auberge, enfourcha sa monture, et s'éloigna, paraissant voler au dessus du sol. Il n'avait pas de temps à perdre.

A force d'écouter, cette conversation fatigué mino...
Il savait trés bien qu'elle ne pourait jamais finir sur un accord des deux coté... chacun avait ses idée qu'il ne changerait pas...

Thanos salua zelltemplar qui s'éloignait dans les ombres. Il aperçut Mino qui baillait dans un coin, et s'approcha de lui. Un tape amicale dans le dos le réveilla, et il lanca sur un ton jovial :

Et alors, Mino, tu nous fais un coup de fatigue ? Te ronge pas les sangs comme ça, va !

Un petit signe à l'Elfpower qu'il n'avait sûrement pas vu, et Seytahn ruminait ses pensées : ce clan était aussi un de ceux de l'Alliance pour lequel elle avait le plus d'admiration, de part leur courage, leur tenacité et surtout les interventions funs et parfois géniales de certains de leur membres sur les places publiques qu'elle fréquentait : pour ne citer qu'eux :

- Addax, Macroslenoir, Glorfindel...


Toujours assise en face de Kayou, qui tenait conversation avec plusieurs autres personnes, elle se dit encore une fois qu'il avait bien du courage d'exposer ses idéaux au sein même de ceux qui cultivaientune philosophie opposée.

- tu m'as montré la direction de ta taverne, et ton chef Wildfar m'avait déjà gentiment invitée là-bas, mais je crois que pour l'instant je n'en ai pas le courage, j'ai l'impresion que je m'y ferai agressée. Pas par toi ou ton chef ou Ezechiel, mais par tous les autres. Surtout qu'on se retrouve maintenant sur le même champ de bataille.

Et pour reprendre le fil de notre polémique, la manière dont vous voulez nous libérer du fléau n'est peut-être pas la bonne, nous sommes des Mort-vivant, et nous reviendrons éternellement hanter vos vies d'allianceux à chaque fois que vous nous expédierez dans notre Nécropole.

Le seul moyen à mon avis serait de nous laisser faire notre chemin, celui qu'on s'est tracé, mais je pense que de toutes façons vous êtes trop attachés à nous pour nous laisser tranquilles ou encore supporter qu'un jour on déserte complètement le Lorndor, et il en est de même sans doute pour nous : les NEMESIS sont nos ennemis préférés, comment se passer de vous après un si lourd passé et tant de liens ( aussi intenses que la haine, la révolte, le mépris, la peur, l'amitié, le respect, l'admiration) tissés entre nous ?


[HRP] pour boire goulument sans te quitter des yeux et sans m'étouffer, je me suis entraînée ! Dans l'Alcolve des filles, tous les soirs devant le miroir ) [/HRP]

Kayou était visiblement impressionné par cette capacité à boire tout en le fixant. Peut-être s'y essaierait-il une fois seul.
"Pas par toi ou ton chef ou Ezechiel"
Kayou était étonné de voir Seytahn avoir manifestement confiance en lui. Kayou n'en était pas sûr du tout. Il n'était pas venu sous couvert de diplomatie, et sa retenue résultait plus d'un instinct de survie que d'un simple contrôle. Contrôle qu'il n'était pas certain de contenir en quelque autre lieu que ce soit.

Guidé d'abord par son amitié pour Ezechiel, aidé par les effluves de la Source Accomplie, surpris par un suppot du Fléau lui même... tous ces évènements qui l'avait conduit irrémédiablement dans cette situation pour entendre de la bouche même de Seytahn ces paroles...
"nous reviendrons éternellement hanter vos vies"

Ces êtres qui se disaient des victimes de leur destin, qui prônaient de si belles paroles pour certain... se révélaient-ils enfin?
Kayou avait à de nombreuses reprises avoué qu'il n'était pas en son pouvoir de les libérer, eux seuls étaient en mesure de se libérer. Et c'était là que reposait la difficulté du combat que menaient les Némésis. Mais ces êtres n'étaient vraisemblablement pas disposés à l'accepter pour tenir de tels propos.
"nous reviendrons éternellement hanter vos vies"

Ces paroles seraient désormais gravé en lui.
Elles ne faisaient que renforcer sa vision, ses sentiments, et sa foi. Il ne s'était pas égaré en chemin. Mais ça ne lui facilitait guère la tâche, car ils savait alors ce qui l'attendait.

"éternellement"
Kayou savait, pour en avoir été témoin à plusieurs reprises, que leur sort n'avait rien de définitif. Mais ils étaient seuls à pouvoir en changer. Le geste devait venir d'eux, il devait le choisir dans leur plus grande liberté.

Kayou ne pouvait que souffrir en cet instant pour eux, qui choisissaient volontairement de vivre ces tourments.
D'une souffrance qui inhiberait même ses réactions impulsives, qui le libérerait, et lui permettrait de partager quelques instants en harmonie avec ces êtres. Mais ça ne durerait qu'un temps.
-Merci Seytahn. Je ne m'attendais pas à l'entendre de ta part. Mais c'est d'autant plus probant.

Il se leva et s'assit face à la mort-vivante qui l'observait depuis maintenant bien longtemps. Il posa ses mains devant lui, les croisa, et appuya son menton dessus. Il était fatigué de paroles qui resteraient incomprises. Il se plongea simplement dans ce regard, sondant leur profondeur. Quelle pouvait bien être l'histoire de "loulou"? Kayou aurait aimé en apprendre plus, mais il conserva son mutisme.

On pourrait interprêter cette attitude comme celle d'un enfant qui boude. Mais c'était là pour Kayou un bon moyen de s'isoler et profiter pleinement de ce qu'il vivait. Car il vivait résolument cet instant, peut-être unique pour lui.

S'il comprenait mieux les êtres qu'ils pourchasseraient, cela ne résolvait en rien leur hostilité. En ce jour, Kayou imaginait aisément ces êtres divins, des dieux du Lorndor, pouffant de la situation inextricable, se riant des vains efforts pour parvenir à une fin, pour voir éclore une paix.
Kayou était bien las.


La vie continuerait donc comme si rien ne s'était passé au Mausolée.
La vie continuerait tant que le Fléau trouverait des Combattants dressés contre lui.

Seytahn trouva nécessaire de répéter ses paroles afin qu'elles ne prêtent pas à confusion :

- et nous reviendrons éternellement hanter vos vies d'allianceux à chaque fois que vous nous expédierez dans notre Nécropole.

Et elle insista sur les derniers mots si faciles à oublier semble-t-il :

- ...à chaque fois que vous nous expédierez dans notre Nécropole...

Elle rajouta en souriant :

- ne parlons même pas du fait de vos intentions d'aller nous perturber au sein même de notre Nécropole... choisir d'être victime de nous même plutôt que d'autrui est un premier pas pour nous libérer de notre état de victimation, mais ce terme est inadéquat en ce qui nous concerne : nous serons maîtres de notre destin, et la seule chose dont nous pouvons être victime, au même titre que vous, pourfendeurs du Fléau, c'est d'un manque de compréhension bien naturel puisque nous sommes différents...

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